9 mars 2012
Le nouveau spectacle de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal promet un met de choix pour cette 8e édition axée sur nul autre que Gioachino Rossini, icône de l’opéra à l’italienne (Il barbiere di Siviglia, La Cenerentola, L’italiana in Algeri… et, en gastronome averti, auteur de quelques pages culinaires fort savoureuses.
À partir de ce trait particulier du grand compositeur, l’ALOM propose un tour de chant aux accents délicieux sous la forme d’une fiction chantée composée de deux parties et d’un épilogue. Deux sopranos, un mezzo, un ténor, un baryton et un baryton-basse se partagent ce repas mis en scène par Marie-Nathalie Lacoursière, également scénariste. Les chanteurs ont pour nom : Karine Boucher, Frédérique Drolet, Emma Parkinson, Isaiah Bell, Jean-Marie Richer et Tomislav Lavoie. Au piano : Tina Chang. La conception musicale est assurée par Claude Webster, les décors sont de Diana Uribe. Quant aux éclairages, c’est Francis Hamel qui s’en charge. Sans oublier les accessoires, choisis pour cette occasion singulière par Alain Jenkins.
Soulignons que l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal a été fondé en 1984 dans le but précis d’assurer une relève dans l’art lyrique, et non seulement en ce qui a trait à la voix, mais aussi aux domaines connexes liés à cette discipline : interprétation, jeu scénique, diction, expression corporelle, tous animés par des formateurs de haut calibre
Au Monument National (salle Ludger-Duvernay), les 10, 13, 15 et 17 mars, à 19 h 30.
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