27 juin 2019
PRIMEUR
| Semaine 26 |
Du 28 juin au 4 juillet 2019
RÉSUMÉ SUCCINCT
Préoccupé, Max est parti dans sa maison au bord de la mer pour se ressourcer. Sa bande de potes, qu’il n’a pas vue depuis plus de 3 ans, débarque par surprise pour son anniversaire ! La surprise est entière, mais l’accueil l’est beaucoup moins.
En 2010, dans Les petits mouchoirs, Ludo était à l’hôpital dans un état critique mais la plupart de ses amis quittaient Paris pour des vacances sur le bassin d’Arcachon. Aujourd’hui, le riche Max est dans une mauvaise passe et ses amis perdus plus ou moins de vus viennent lui faire la surprise d’une visite dans sa villa du Cap Ferret sur le même étang maritime. Le film se veut donc une suite du premier pour revisiter les mêmes personnages dont les fortunes financières, de santé ou sentimentales ont évolué. L’aspect choral amène le réalisateur et scénariste Guillaume Canet à papillonner entre ces diverses histoires accordant à l’un ou à l’autre son quinze minutes de gloire.
On est étonné de la volonté de Laurent Lafitte de la Comédie-Française à détruire son image par divers procédés peu comiques. Gilles Lellouche s’en sort mieux même si les échanges avec la nounou de sa fille frisent parfois le ridicule. Parmi les personnages féminins, Isabelle, incarnée par Pascale Arbillot, se taille la part de la lionne.
Le récit se construit en circuit fermé et à part le personnage de Jean-Louis, restaurateur du coin, les Arcachonnais, ostréiculteurs ou autres sont relégués à n’être que des visions fugitives captées par la photo de Christophe Offenstein. Le cinéaste emploie une bande musicale anglophone faite de tubes alors que des chansons françaises, italiennes ou hispanophones auraient pu au moins aussi bien servir . Après deux heures quinze, certains problèmes sont réglés mais l’ode à l’entraide et l’amitié est beaucoup mieux réussie, par exemple, dans le récent Toy Story 4.
Le récit se construit en circuit fermé et à part le personnage de Jean-Louis, restaurateur du coin, les Arcachonnais, ostréiculteurs ou autres sont relégués à n’être que des visions fugitives captées par la photo de Christophe Offenstein.
FICHE TECHNIQUE
Sortie
Vendredi 28 juin 2019
Réal.
Guillaume Canet
Genre(s)
Comédie dramatique
Origine(s)
France
Belgique
Année : 2019 – Durée : 2 h 15
Langue(s)
V.o. : français; s.-t.a.
Little White Lies 2
Dist. @
MK2 | Mile End
Classement
Tous publics
En salle(s) @
Cinéma Beaubien
Cineplex
MISE AUX POINTS
★★★★★ Exceptionnel. ★★★★ Très Bon. ★★★ Bon.
★★ Moyen. ★ Mauvais. 0 Nul.
½ [ Entre-deux-cotes ]
PRIMEUR
| Semaine 26 |
Du 28 juin au 4 juillet 2019
RÉSUMÉ SUCCINCT
La petite sorcière a un gros problème : elle n’a que 127 ans, ce qui est beaucoup trop jeune pour danser à la grande fête des sorcières de Walpurgis. Quand elle essaie sans succès d’y entrer, sa punition est sévère: elle a un an pour apprendre les 7,892 sorts du grand livre de magie.
FICHE TECHNIQUE
Sortie
Vendredi 28 juin 2019
Réal.
Mike Schaerer
Genre(s)
Conte
Origine(s)
Allemagne
Suisse
Année : 2017 – Durée : 1 h 43
Langue(s)
V.o. : allemand / Version française & anglaise
La petite sorcière
Die kleine Hexe
Dist. @
Les Films TVA
Classement
Tous publics
En salle(s) @
Cinéma Beaubien
Cineplex
PRIMEUR
| Semaine 26 |
Du 28 juin au 4 juillet 2019
RÉSUMÉ SUCCINCT
Hier, tout le monde connaissait The Beatles. Aujourd’hui, seul Jack se souvient de leurs chansons. Il a soudain une idée.
La proposition de départ est intéressante et donne lieu à quelques trouvailles visuelles, regrettablement, finissant par se répéter. Des célèbres chansons des Beatles ressuscitent dans notre esprit soulignant pour ainsi dire une époque plus inventive sur le plan de la musique populaire. Danny Boyle, jadis plus fertile en imagination, se limite à concocter un récit musical multiforme, nourri également d’une histoire d’amour qui ne s’affirme que tard dans le récit et qui envahit la deuxième partie du film. La poursuite de la réussite est aussi un sujet traité avec un sens de l’humour assez particulier. Les maisons de disque et leurs impresarios le plus souvent détachés de tout rapport humain est assez impressionnante et mené habilement par une Kate McKinnon hallucinante, quoique savamment caricaturée. Le Britannique Himesh Patel, de mère née en Zambie et de père originaire du Kenya, ajoute un je-ne-sais quoi de candidement original, permettant au réalisateur de démontrer que le mélange des races est plus salutaire que malvenu. Une séquence – la rencontre ente Jack Malik (Patel) et un des Beatles imaginé (on ne vous dira pas lequel) – se révèle fort émouvante. Finalement, on ne se lassera pas des nombreuses chansons du groupe évoquées, dont, bien entendu, Yesterday. Agréable… du bonbon pour toutes générations confondues.
Le Britannique Himesh Patel, de mère née en Zambie et de père originaire du Kenya, ajoute un je-ne-sais quoi de candidement original, permettant au réalisateur de démontrer que le mélange des races est plus salutaire que malvenu.
FICHE TECHNIQUE
Sortie
Vendredi 28 juin 2019
Réal.
Danny Boyle
Genre(s)
Comédie fantaisiste
Origine(s)
Grande-Bretagne
Année : 2019 – Durée : 1 h 56
Langue(s)
V.o. : anglais / Version française
Yesterday
Dist. @
Universal Pictures
Classement
Tous publics
En salle(s) @
Cineplex
MISE AUX POINTS
★★★★★ Exceptionnel. ★★★★ Très Bon. ★★★ Bon.
★★ Moyen. ★ Mauvais. 0 Nul.
½ [ Entre-deux-cotes ]
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