Résumé
Autrefois, de nombreuses rivières serpentaient dans nos villes. Aujourd’hui, plusieurs sont devenues les victimes de la pollution de plus en plus grandissante. Certaines sont aussi sources de maladies. Ce documentaire nous entraîne dans un voyage partout dans le monde, à la recherche de ces « rivières perdues ».

En quelques mots
★★
Il est étonnant de constater l’absence de Paris dans ce documentaire où Londres est employée comme ville industrielle fondamentale ayant effectué la canalisation et la mise à égout de rivières de plus en plus polluées. La réalisatrice emploie une spéléologue urbaine montréalaise comme personne-ressource pour rencontrer ses confrères « drainers » qui tentent et réussissent à redonner vie à ces rivières en les découvrant littéralement et en les reliant même à des parcs pouvant servir de milieux humides. La réalisation est directe, sans fioritures, en dehors de quelques animations. On trouve facilement sur le site de Radio-Canada de courtes vidéos informatives sur les rivières semblables à Montréal. On trouvera aussi sur le web des liens pour ces rivières perdues parisiennes que sont la Bièvre et la Grange-Batelière dont on voit les effets encore aujourd’hui dans le grand sous-marin qu’est la gare Auber à côté de l’Opéra Garnier. Caroline Bâcle et son équipe ont fait œuvre utile et inciteront peut-être des idées d’autres architectes-paysagistes dans cette voie écologique. >> Luc Chaput

Sortie : Vendredi 28 juin 2013
V.o. : Multilingue
S.-t.f. / S.-t.a. – Rivières perdues

DOCUMENTAIRE | Origine : Canada [Québec] – Année : 2012 – Durée : 1 h 12  – Réal. : Caroline Bâcle – Dist. / Contact : CatBird Films | Horaires / Versions / Classement : Cinéma du Parc

MISE AUX POINTS
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