8 février 2014
>> La Rédaction
Il s’agit d’un ballet classique aussi héroïque que romantique se situant dans l’Inde mystérieuse, l’inconnue, l’exotique. Comme thème, un de ceux qui se perdent dans la nuit des temps : la quête de l’amour éternel. Au menu : costumes magnifiques, scènes spectaculaires, couleurs chatoyantes, spectacle majestueux. La première fois que ce ballet a été présenté, c’est au Théâtre Bolchoï de Saint-Petersbourg, en 1877.
Aujourd’hui, pour une première à Montréal, La Bayadère, à partir d’une chorégraphie du célèbre Marius Petitpa, sera sans aucun doute un des moments forts de la saison 2013-2014 des Grands Ballets. Le récit : Nikya, La Bayadère, jeune fille consacrée au temple à partir d’un jeune âge, devenant en quelque sorte l’épouse de la divinité, a promis son cœur à Solor, le brave guerrier. Mais voici que le Grand Brahmane du sanctuaire est follement épris d’elle. Que se passera-t-il ?
Nous sommes donc devant un spectacle où s’entrecroisent les thèmes de l’amour, la fidélité, la jalousie, la trahison et la vengeance. Et bien entendu, une choréraphie inoubliable autour d’une puissante et enlevante musique de Léon Minkus.
Les danseurs, ceux du Ballet national d’Ukraine. Dans le rôle de La Bayadère, Natalia Matsak, danseuse étoile russe, s’étant déjà produit sur les scènes des plus importantes villes du monde, a été formée dans le classique aussi bien que dans le moderne. La mise en scène est signée Natalia Makarova, danseuse vedette et actrice au théâtre et au cinéma.
Une soirée à ne pas rater.
Durée : 2 h 50 (incl. 2 entractes) | jeudi 20, vendredi 21 et samedi 22 février 2014 – 20 h 00 | Place des arts (Salle Wilfrid-Pelletier)
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