22 juin 2017
15 juin 2017
11 juin 2017
La première partie ne surprend guère. C’est une véritable comédie estivale sur la jeunesse en voie difficile d’entrer dans le monde adulte, sur justement ces adultes qui se comportent parfois comme des enfants, sur le mariage, la famille, l’autorité maternelle, la mère-juive, la mère non-juive, leurs débordements, leurs angoisses, leurs attentes et petis bonheurs qu’elles imaginent.
La jeune fille a aimé un autre homme ; celui-ci l’aime encore, mais il n’est pas certain. Elle est juive et elle est promise à un non-juif. Les deux familles sont compliquées. Surtout celle de la jeune fille. C’est tout à fait naturel. Portrait d’une vraie famille de la classe moyenne occidentale. La peinture est on ne peut plus vraie.
9 juin 2017
2 juin 2017
Près de 40 ans se sont écoulés depuis la sortie du dernier film d’Andrei Tarkovsky en sa terre natale. Malgré le temps et la distance qui nous séparent de l’ère de stagnation de l’Union soviétique, Stalker n’a pas perdu une once de sa puissance : sa pertinence se renouvelle à chaque incursion qu’on fait dans son espace-temps déstabilisant. À l’occasion de sa restauration 2K, chaque soir du 2 au 8 juin au Cinéma du Parc, un portail s’ouvrira le temps de laisser entrer nouveaux visiteurs et stalkers aguerris vers un territoire mystérieux où plus rien n’est certain.
N’entre pas qui veut dans ce territoire qu’on appelle la Zone : son périmètre est fortifié et gardé par les autorités. On dit que depuis qu’une météorite y est tombée il y a de ça plusieurs années, des phénomènes qui dépassent l’entendement s’y produisent. On raconte même qu’il y a, quelque part au cœur de la Zone, une pièce qui exauce le souhait de celui qui y entre. Dit-on vrai ? Où s’agit-il de rumeurs superstitieuses ?
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