1er juin 2017
27 mai 2017
Une des belles occasions qu’offre Cannes est celle de discuter avec des journalistes du monde entier. Soit , la plupart du temps dans la langue de Shakespeare, aujourd’hui devenue la lingua franca (langue véhiculaire), une composante étrange de notre monde contemporain. Si les Hexagonaux s’y prêtent à ce jeu linguistique, pourquoi pas nous ?
Or, de l’avis d’amis de la Norvège, de l’Allemagne, de la France, du Brésil et d’autres parties du monde, nous devons conclure que l’année 2017 aura été celle de biens des déceptions du côté de la Compétition officielle. J’aurai l’occasion d’y revenir plus en détails dans des textes sur des films précis dans la revue imprimée.
25 mai 2017
Didier Lucien a voulu créer intentionnellement un spectacle plus rassembleur, voulant que les amateurs de cirque et les autres se retrouvent dans un espace unique où ils pourraient convoler en justes noces.
Quand Cirque et Extraterrestres tentent de vivre ensemble, il peut se produire des étincelles pas toujours scintillantes, mais se promenant un peu partout au bon gré des artistes et des pièces musicales choisies. Si vers la fin le O mio babbino caro est vite expédié en quelques rapides secondes, sous le rire de quelques spectateurs mal informés de la chose, force est de souligner que les musiques plus commerciales et connues disposaient de plus de temps.
24 mai 2017
AVIS AUX CINÉPHILES
Il arrive parfois que certains films ne soient pas présentés toute la semaine, particulièrement dans les salles indépendantes. Consultez les horaires quotidiens, ceux-ci pouvant changer d’un jour à l’autre.
Dû au nombre de nouveaux films à l’affiche et au peu de collaborateurs disponibles, les textes critiques pourraient enregister des retards. Néanmoins, nous déployons tous nos efforts pour éviter cette situation.
23 mai 2017
Quelque chose de sensiblement attachant, sans doute par la forme employée par Frédéric Julien, émane de ces 3 Magaly, 3 femmes, dont une fillette, en quête d’identité communautaire, trois femmes autochtones d’une Bolivie multiraciale où les propriétaires terriens blancs n’ont pas totalement réussi à éradiquer une Première nation aux valeurs et aux traditions ancestrales tout à fait légitimes, qui font la grandeur non seulement du pays, mais surtout du continent latino-américain.
Comme enseignant, il a donné des cours au Gégep de la Gaspésie et des Îles (Campus de Gaspé). Son nom : Frédéric Julien. Professionnellement, au cinéma, il a coscénarisé Sur les traces d’Arthur, le documentaire de Saël Lacroix. En solo, il sort Les 3 Magaly, son premier documentaire de moyen métrage, présenté à la Cinémathèque québécoise. Séquences l’a rencontré, question qu’il nous parle un peu de son parcours.
18 mai 2017
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