17 novembre 2016
Suppléments : Aucun.
Genre : DOCUMENTAIRE – Origine : États-Unis – Année : 2016 [numérique : 2016] – Durée : 1 h 51 – Réal. : Clay Tweel – Dist. / Contact : Métropole.
CLASSEMENT
Tout public
MISE AUX POINTS
★★★★★ Exceptionnel. ★★★★ Très Bon. ★★★ Bon. ★★ Moyen. ★ Mauvais. ½ [Entre-deux-cotes] – LES COTES REFLÈTENT UNIQUEMENT L’EN QUELQUES MOTS DES SIGNATAIRES.
L’association Chan/Knoxville fait des petites miracles dans une comédie d’action pourtant moyenne, faite de facilités et de vieilles habitudes dues au genre. Chez soi, sur Grand Écran télé, c’est joussif, on ne porte aucun jugement et si l’intrigue n’est pas vraisemblable, qu’importe, ce n’est pas si grave. Les pirouettes l’emportent sur la raison, les deux vedettes populaires finissent par nous convaincre de leurs méfaits, conneries et leurs symbiose amicale. Somme toute, un plaisir coupable tout à fait délectable. Soulignons les suppléments aussi sympa que bon enfant qui ne se prennent pas du tout au sérieux. Pour fans de série B.
Suppléments : Audio Commentary with director Renny Harlin ; When Jackie Met Johnny
Genre : ACTION / COMÉDIE – Origine : Chine / Hong Kong / États-Unis – Année : 2016 [numérique : 2016] – Durée : 1 h 47 – Réal. : Renny Harlin – Dist. / Contact : Métropole.
CLASSEMENT
Tout public
MISE AUX POINTS
★★★★★ Exceptionnel. ★★★★ Très Bon. ★★★ Bon. ★★ Moyen. ★ Mauvais. ½ [Entre-deux-cotes] – LES COTES REFLÈTENT UNIQUEMENT L’EN QUELQUES MOTS DES SIGNATAIRES.
16 novembre 2016
Ironiquement, et c’est tant mieux pour moi, il s’agit du deuxième texte de Larry Tremblay adapté au théâtre que je vois en une semaine. Après, au Quat’Sous, Le joker, pièce qui m’a laissé passablement dubitatif par rapport à l’avenir des êtres et du monde, mais aussi imprégné d’un espoir inaccessible, espoir tout de même, Le garçon au visage disparu propose une fin d’une force dramatique rassurante et réconciliatrice avec le deuil et la vie.
14 novembre 2016
Parmi les plus beaux opéras de Mozart, Don Giovanni est un rendez-vous galant qui exerce encore un charme irrésistible. D’une part, sa musique, situant le dramma giocoso entre la comédie et le drame ; de l’autre, sa critique virulente que les mots sortant du livret de Lorenzo Da Ponte jette sur le personnage, plus enclin à comptabiliser ses conquêtes qu’à éprouver une quelconque affection.
12 novembre 2016
Adapter sur scène un roman d’anticipation culte est d’autant un exercice risqué qu’il est fort probable de ne pas s’en sortir sans dégats. Pari pourtant réussi dans la version TDP de 1984, d’après l’écrit incontournable du visionnaire George Orwell. Des personnages jusqu’au-boutistes, atteints d’une soif de liberté dans un monde devenu fou, là où Big Brother contrôle tout. Il y a eu le film de Michael Radford, intentionnellement sorti en 1984, avec un John Hurt (Winston Smith) et un Richard Burton (O’Brien) inoubliables.
Suite
Larry Tremblay pose la question existentielle du possible équilibre entre le réel et « ce qu’il pourrait être » (sic), entre une idée de la représentation théâtrale et son rapport au texte, entre les liens qu’entretiennent les comédiens avec le public.
On assiste à un jeu de miroir orgiaquement paranoïque orchestré par les décors sidérants de Pierre-Etienne Locas. En haut, une rue, la terre ; en bas, l’au-delà, le mort-vivant, réel, rassemblant des morceaux de vie qui, par magie, se retrouvent plus haut, pour redescendre dans le néant. Suite
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